Se déplacer au vietnam ..
Si l’on veut se déplacer dans la capitale économique du Vietnam il faut s’adapter aux moyens de transport. Il est possible de marcher car les trottoirs sont très larges. Les Vietnamiens, avec un drôle d’air, vous regardent passer. Ils pensent que vous êtes pauvre, sacrilège entre tous…
Pour eux, votre richesse se voit au vélomoteur que vous utilisez. Les touristes se déplacent en car, taxis ou en cyclo-pousse. Pour se promener en dehors des grandes villes, il est conseillé de louer une voiture avec chauffeur. Cela fait peu de tant qu’un étranger peut conduire seul une automobile. Ce n’est toutefois pas conseillé. Un chauffeur n’est pas cher et il peut régler les problèmes rencontrés.
Au début, j’ai beaucoup marché. Pour prendre des photos, je trouve que c’est plus pratique. On vit au rythme de la cité et on voit ce qui échappe à la majorité des touristes. Lorsque j’avais besoin de traverser la ville, j’utilisais le bus. La ville est assez bien desservie mais il est très difficile de trouver un plan détaillé des transports en commun.
Quand vous demandez cela à un guichet, ils ouvrent de grands yeux sans comprendre pourquoi on a besoin de ça! Pour les Vietnamiens, tous les étrangers sont riches et doivent forcément se déplacer en taxi…
Les chauffeurs de ces compagnies savent comment aller à notre destination. De leurs côtés les Vietnamiens connaissent la ville et n’utilisent pas de plans.
Le moto-bail
Pour se déplacer, il est aussi possible d’utiliser un moto-bail. Cet homme vous emmènera, sur sa moto, jusqu’à votre destination. Il faut toutefois fixer le prix avant le départ et montrer sur votre carte où vous désirez vous rendre. Le prix se négocie en marchandant et très vite on apprend à faire comme les habitants du pays. On s’éloigne en haussant les épaules et l’homme vous rappelle en baissant le prix.
Ces chauffeurs sont assis à tous les croisements, ils attendent le client. Ce sont, avec les policiers, les personnes qui connaissent le mieux leur quartier. Le long du trajet on peut s’arrêter et demander, à un moto-bail, sa route. Dans une ville, où il n’y a même pas un panneau pour indiquer la direction de l’aéroport, ces conseils sont précieux.
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